Laisser les pions si possible jusqu’au travail avec la variable.
Certains les arrangent direct.
Méthodes :
rangement par paires
voire rangement par puissances de deux (TCP)
grouper par 5 ?
autres formes (carrés, triangles…)
compter
le nombre est-il pair ou impair ?
utiliser la division euclidienne (!)
nombre se terminant par 0, 2, 4, 6 ou 8
petit travail de logique :
parité => terminaison
terminaison => parité
terminaison <=> parité
drapeau qui commence à « pair » et change à chaque pion
Instructions pour le robot.
À côté de « Instructions de », les élèves inscrivent leur prénom ou pseudo.
Une fois rédigées, on passe à la personne de gauche afin qu’elle
corrige en rouge. Le correcteur inscrit son prénom ou pseudo après
« Pour le robot :».
Est-ce lisible ?
Est-ce que la suite d’instructions fonctionne, atteint-on le but ?
Atteint-on le but dans tous les cas ?
La feuille retourne à son auteur et la discussion s’engage.
Les plus avancés inventent un langage pour pouvoir programmer le robot.
On retient :
Certains écrivent des paragraphes avec passage à la ligne si besoin,
d’autres découpent les lignes suivant le sens.
On utilise des mots-clés, en français ou en anglais, plutôt pas
les deux.
On délimite des blocs de code avec des accolades ou grâce à
l’indentation (voir l’article Wikipedia), parfois mise en
évidence grâce à des barres verticales.
S’il pleut, {je prends mon parapluie} et je vais au cinéma.
S’il pleut, {je prends mon parapluie et je vais au cinéma}.
Quelques symboles ou caractères spéciaux.
Certains écrivent FinSi. Est-ce un mot de la langue française ?
Certains parlent du type d’un nombre, entier par exemple.
Derrière certains mots-clés peut se cacher des processus complexes,
comme pour que le robot « compte » les pions (caméra avec zones
connexes, mesure du poids…).
Algorithme avec la variable N, les mots-clés de MicroAlg et la stratégie
du groupement des pions par deux.